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The couple received the Princely couple of Sweden, who recently married, at the Elysee.
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Charles de Gaulle's words that day - exactly 70 years ago on June 18, 1940 - called on the French never to abandon the struggle against the Nazi invaders. 'The flame of French resistance must not and will not be extinguished,' he thundered.
Today, French President Nicolas Sarkozy and his wife Carla visited the BBC to celebrate the event. They will meet Prince Charles, pay homage to De Gaulle's statue in West London, and lunch with David Cameron at Number 10. The Sarkozy's also met Prince Charles.
A peine plus de cent ans après la première journée des femmes de 1909, le monde a de nombreuses raisons de se réjouir. Pourtant, cet hommage à l'émancipation sociale, politique et économique des femmes a peu de sens pour la plupart des femmes qui, à travers le monde, se battent pour obtenir le droit fondamental à l'éducation, pour accéder aux soins et avoir le minimum de maîtrise sur leur propre vie. Je suis bouleversée par les difficultés qu'elles doivent affronter et qui sont inconcevables pour nous qui avons le privilège de vivre dans un pays comme la France. Cette journée doit être l'occasion pour nous de rappeler que nous ne pouvons pas nous permettre de nous concentrer uniquement sur nos propres problèmes.
La majorité des femmes des pays en développement font face à de terribles difficultés. Chaque année, cinq cent soixante mille femmes continuent de mourir pendant un accouchement, alors que cet événement devrait compter parmi les plus heureux de la vie. Et le sida est la première cause de mortalité des femmes en âge de procréer. Il ne s'agit pas seulement d'une question de santé, mais également d'une question de pouvoir. Des personnes sont infectées par le VIH lorsqu'elles n'ont pas le pouvoir de se protéger. C'est notamment le cas des femmes qui n'ont pas de pouvoir de décision sur leur vie sexuelle, et des enfants qui risquent d'être infectés à leur naissance et sont par conséquent complètement démunis.
Nous avons beaucoup à faire pour redresser ces déséquilibres et le point positif est que les changements nécessaires peuvent se produire rapidement. J'ai eu l'occasion de le constater en m'intéressant particulièrement à la prévention de la transmission du VIH de la mère à l'enfant, au cours de l'année qui vient de s'écouler. En Afrique de l'Ouest, j'ai vu de minuscules structures sanitaires fournir des traitements contre le VIH, améliorant ainsi rapidement les chances pour les femmes de cette région de prendre soin d'elles-mêmes afin de pouvoir aimer et protéger leurs enfants, et ce type de changement commence à avoir lieu partout.
Depuis le début de l'épidémie de sida, la France a été l'un des moteurs de ces changements et nous sommes fiers des personnes et des organisations qui travaillent sans relâche pour améliorer et sauver des vies. En 1983, les professeurs Françoise Barré-Sinoussi et Luc Montagnier ont découvert le virus du sida. Aides, une association de personnes infectées et affectées par le VIH, travaille en partenariat avec des associations africaines pour améliorer l'accès aux soins dans les pays les plus touchés par l'épidémie. Le professeur Michel Kazatchkine, ancien ambassadeur de France chargé de la lutte contre le sida, dirige aujourd'hui le Fonds mondial, qui fait partie des organisations internationales et non-gouvernementales qui se sont engagées, sous l'égide d'Onusida, à éliminer la transmission du VIH de la mère à l'enfant d'ici 2015, un objectif qu'il est désormais possible de mettre en œuvre et d'atteindre.
Il y a seulement dix ans, l'idée même de fournir un traitement antirétroviral aux personnes séropositives dans les pays en développement était considérée comme utopique. Aujourd'hui, dans les pays en développement, 4 millions de personnes reçoivent un traitement commencé pour la plupart au cours des cinq dernières années. S'il est possible de fournir un traitement contre le VIH à des mères dans les zones rurales du Bénin, l'un des pays les plus pauvres de la planète, faire en sorte que tous les enfants naissent sans le VIH d'ici 2015 est un objectif totalement réaliste.
Mais pour atteindre ce nécessaire objectif de justice, nous devons faire vite. A l'échelle de la planète, nous ne parvenons à atteindre que deux personnes sur cinq ayant besoin d'un traitement et seulement 45 % des femmes enceintes séropositives pour prévenir la transmission du VIH à leur enfant. Il se produit encore 1 million de nouvelles infections par le VIH chez les femmes chaque année et plus de quatre cent mille enfants naissent avec le VIH, soit plus de mille enfants chaque jour. Ne s'agit-il pas d'une injustice, alors que la prévention et les traitements pourraient les concerner tous ?
Pour y parvenir, il nous faut reconnaître que la lutte contre la maladie rejoint le combat visant à donner du pouvoir aux femmes. Les femmes sont le cœur de la société : elles gagnent de l'argent, elles prodiguent des soins, elles nourrissent, elles sont le moteur du changement. Notre responsabilité commune est de faire en sorte que, dans les pays en développement, nos sœurs aient également accès aux droits fondamentaux et aux services de base que la plupart d'entre nous ont le luxe de considérer comme acquis. En investissant pour les femmes, nous investissons dans la santé et le développement des familles, des communautés et, au final, des pays tout entiers.
Nous avons toujours voulu éradiquer les fléaux que sont le VIH et la mortalité maternelle, et venir à bout des handicaps sociaux tels que l'absence d'éducation. Aujourd'hui, nous avons les moyens de les vaincre. Et nous y parviendrons si nous touchons suffisamment de femmes.
Carla Bruni-Sarkozy est ambassadrice mondiale du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, pour la protection des mères et des enfants contre le sida.
"I have an austere temperament," she says. "There are things that give me no pleasure: objects, clothes, jewelry. I've worn them all, but all that stuff interferes with my daily life." She does her own hair. According to her friend Farida Khelfa, "Carla hates shopping and would wear the same pair of trousers every day if she could." Makeup doesn't interest her—"It takes forever and doesn't make you look better after 30." A beauty at 41, she looks a little like a cat, a little like her mother, a little like an actress during rehearsal: all there, no facade.
"It opened my eyes. Before, I lived in a privileged bubble. My view of the world was constructed in a life where I never saw real action, only listened to a lot of words, and words spoken by people who live in Saint-Germain des Près. There's a big difference between the intellectuals of the Café Flore and people who actually have power, between thought and action. Thought can be free, but action is never free—it has to deal with reality."
"Sarkozy was perceived as a man without much culture when Carla came on the scene. She drags him to desperately abstract plays that he sleeps through, but he's thrilled; she makes him watch DVDs of foreign films in the original language; she's made him into the kind of man intellectuals can be seen with. She ennobled him; she made him elegant."
J'ai toujours vécu comme une ermite. Et cela ne s'arrange pas avec le temps. Je ne suis pas forcément quelqu'un de très sociable. Et en tout cas, je n'ai pas envie d'intervenir sur les sujets d'actualité à tout bout de champ. [...] Moi, je répugne à m'exprimer quand je suis incompéténte ou ignorante. Certains devraient peut-être d'ailleurs suivre mon exemple, cela ferait des vacances à tout le monde. Il me semble que ce qui intéresse les Français, c'est ce que je peux faire pour eux. J'essaie d'être utile, voilà tout."Translation by Google Translate:
I have always lived as a hermit. And this does not improve with time. I am not necessarily someone who is very sociable. And in any case, I do not want to speak on the topics at every turn. [...] I reluctant to speak when I am incompetent or ignorant. Some may need to also follow my example, it would make a holiday for everyone. It seems to me that what interests the French, that's what I can do for them. I try to be helpful, that's all. "
Chers amis,
2009 a été une année importante pour moi.
Grâce à la confiance que me témoignent des acteurs engagés dans la lutte contre le Sida et d’autres hommes et femmes qui croient qu’une deuxième chance est toujours possible dans un parcours de vie, il m’a été donné de poser les premières pierres de combats qui me tiennent à cœur : protéger les mères et les enfants contre le virus du sida d’une part, faciliter l’accès au savoir et à la culture pour lutter contre l’exclusion d’autre part.
À travers des rencontres, des prises de contact et de connaissance, de premiers projets ont vu le jour. D’autres sont appelés à se concrétiser. C’est pourquoi 2010 sera à nouveau une année importante.
C’est le vœu que je formule pour cette année que je vous souhaite de tout cœur épanouissante, pleine de bonheur, de succès, d’espérance et de partage.
Carla Bruni-Sarkozy